Le Burn-Out et la vie professionnelle

Homme, femme, salarié ou chef d’entreprise, le burn-out n’épargne personne, on le retrouve même chez les jeunes et même très jeunes.

 Que ce soit par le rythme effréné de la vie menée, la surcharge de travail, ou du stress technologique, des problèmes relationnels, la pression hiérarchique, …,

A notre époque il est encore difficile de reconnaître ce syndrome d’épuisement.

 Pourtant, près de 12,6 % des salariés présentent un risque élevé de burn-out, selon une étude publiée par le cabinet Technologia.

Alors comment le repérer et surtout comment réagir ?

 Si vous vous reconnaissez dans ces situations c’est que votre stress est dans un état bien avancé.

A chacun son burn-out

Face au burn-out, chacun répond différemment et cela quel que soit son statut (chef d’entreprise, salarié, cadre).

Alors le burn-out, dans le milieu professionnel, se ressent comme une agression, une escalade émotionnelle, qui vous expose à un repli sur soi, à la perte de confiance en vous, qui peut parfois vous faire fuir vos responsabilités.

A cela vont surgir des sentiments de peurs, de craintes, de confusions et même de la colère, mais ne vous inquiétez pas, ce sont des réactions inconscientes.

Ce syndrome n’épargne personne, aussi bien les cadres, les chefs d’entreprise que les salariés sont concernés.

Pourquoi ?

Au monde digital actuel, il est difficile de séparer l’univers professionnel de la vie privée.

Par les outils que nous utilisons chaque jour, à tout moment et toute heure de la journée qui vont jusqu’à mélanger vie privée et vie professionnelle :  les téléphones portables, les tablettes, les emails, les réseaux sociaux, la télévision…, selon le temps que l’on y passe, sont autant de moyens d’en arriver à cet état de burn-out.

Ces états réactionnels, viennent du cerveau affecté, il tente de réagir et va ralentir son fonctionnement,

 Il sera plus lent à prendre des décisions, à résoudre les problèmes, à réfléchir tout simplement, et envoyer au corps des dysfonctionnement qui vont se traduire par des douleurs diverses et nombreuses.

 Ne négligez pas son importance et réagissez par une prise de conscience qui non seulement sera utile mais vous rendra plus fort.

Alors prenez soin de vous, de votre corps, il n’a plus d’énergie, ressourcez-vous, reposez-vous, dormez, mangez et surtout déconnectez-vous, posez-vous les bonnes questions pour identifier la ou les sources du burn-out que vous vivez, les comprendre et vous recentrer sur vos vrais besoins.

Le burn-out n’est pas une fatalité il est peut-être « un mal pour un bien », puisqu’il a fait émerger le problème.

C’est un état passager pour reprendre sa vie et l’état professionnelle en main, et ou pourquoi pas redessiner la vie dont vous rêvez.

Je vous invite à vous rendre sur mon site pour y trouver quelques conseils, à télécharger la méd’-hypnose qui est un outil formidable pour lâcher prise, revenir à soi.

Faites vous aider, ne restez pas seul à souffrir dans votre coin, des solutions, des outils existent.

 

C’est avec grand plaisir que je vous offre cette Méd’Hypnose .

Merci de commenter brièvement  votre mal-Être.

Vous allez la recevoir dans votre boite mail dans quelques instants.
“Lorsque l’on pratique pour la première fois
Il se peut que vous n’arriviez pas à atteindre cet état méditatif,
 Ce n’est pas grave en soi , le cerveau et l’esprit ont besoin d’un temps d’acclimatation à cette pratique, même si vous n’en avez pas conscience.
Parfois il faut 2 à 3 séances de Méd’Hypnose pour ressentir les bien-faits”
                               
 

C’est avec grand plaisir que je vous offre une Méd’Hypnose.

Merci de commenter brièvement  votre mal-Être.

Vous allez la recevoir dans votre boite mail dans quelques instants.

Lorsque l’on pratique pour la première fois

“Il se peut que vous n’arriviez pas à atteindre cet état méditatif,

 Ce n’est pas grave en soi , le cerveau et l’esprit ont besoin d’un temps d’acclimatation à cette pratique, même si vous n’en avez pas conscience.

Parfois il faut 2 à 3 séances de Méd’Hypnose pour ressentir les bien-faits”